À cause des écarts territoriaux important concernant la répartition de la population, les enfants issus des ethnies minoritaires doivent confronter à des conditions de vie très difficiles et ressuscitent une intention particulière des autorités.

 

Des conditions de vie extremes de ces ethnies

 

Le Vietnam est un pays en voie de développement, qui se situe au centre de l’Asie du Sud-est. Ce magnifique pays en forme ‘S’ étiré du Nord au Sud sur 4510 km de frontières terrestre et un littoral de 3444 km, appelant le pont qui relie le Nord-est au Sud-est de l’Eurasie. Le Vietnam compte près de 100 millions d’habitants sur une superficie 335.000 km2 comparé à 64 millions/540.000 km2 en France. La densité de population au Vietnam est bien supérieure que la France. Cette raison qui fait la grande et riche variété de ressources naturelles, de reliefs, de climats et de culture. En partageant la frontière avec la Chine, le Laos et le Cambodge, le Vietnam regroupe près de 54 d’ethnies différentes. Parmi ce grand tableau de langues et de peuples, l’ethnie ‘Kinh’ représente 87% de la population totale et se trouvent principalement dans les deltas et les bassins de fleuves. Les autres ethnies sont éparpillées dans les régions montagneuses avec des conditions de vie beaucoup plus difficiles à cause des catastrophes naturelles qui soient une barrière pour le développement de l’économie de la région.

 

La joie de vive

 

Les politiques du gouvernement vis à vis des difficultés que ces enfants doivent surmonter tous les jours

 

Le problème le plus important est l’éducation de ces enfants. En effet, le gouvernement vietnamien prête une attention particulière au développement et à améliorer des conditions de vie de ses peuples à travers des programmes d’aides, dons ou les indemnités. L’investissement dans les infrastructures comme l’école, les ponts est encore insuffisant et demande beaucoup de temps. Ces peuples vivent souvent très reculées dont l’accès à des soins ou l’éducation demanderont beaucoup d’efforts. Par exemple l’école situe généralement au centre de la commune, tous les matins les enfants doivent marcher des heures en traversant de nombreux obstacle au péril de leur vie avant d’arriver à l’école. C’est pour cette raison qu’il y a beaucoup d’enfants préfèrent de travailler très jeunes pour aider leur parent.

 

Le plus contraignant est le fait de construire des écoles ce qui n’est pas du tout un problème pour la commune. Cependant, les autorités s’interrogent souvent sur son efficacité car on doit avouer à un triste constat qu’il n’y a pas beaucoup d’enfant qui arrive à maintenir le rythme durant toute l’année. Les obstacles sont nombreux comme : la dispersion de la population, un manque cruel de l’infrastructure comme pont ou route, les catastrophes et des conditions météorologies extrêmes menaçant directement à la vie de ces enfants.

 

Lors d’une conférence en 2016, le ministre Do Van Chien, secrétaire adjoint du comité du Parti et président du Comité populaire de la province de Tuyên Quang a annoncé que la Commission des Ethnies du Vietnam signe le projet de coopération entre les pays de l’ASEAN en matière d’affaire ethniques. L’Etat  veille davantage au développement des régions reculées, ainsi qu’à l’amélioration de la qualité des ressources humaines chez les ethnies minoritaires. Au programme :

 

– Réduction de la pauvreté chez les ethnies minoritaires de 3 à 4% par an

– Facilité les démarches administratives pour la répartition des terres destinées à la production.

– Soutien au prêt bancaire avec un faible taux d’intérêt pour les projets d’investissements ou de commerce.

 

Une journee quotidienne de ces enfants

 

Le rôle d’important du tourisme contribué au développement de ces régions

 

Le tourisme se développe à la vitesse grand V comme à Sapa, Ha Giang et devient une ressource principale pour ces régions. Il n’est pas difficile pour les touristes d’observer dans le centre de Sapa ou Ha Giang les petits enfants qui travaillent très jeune pour certains. Ils sont nombreux à vendre des petits souvenirs ou tout simplement à faire la manche. Ce fléau est également un obstacle pour le gouvernement car elle crée une mauvaise habitude. Les enfants préfèrent de travailler de cette manière au lieu de venir à l’école ce qui n’est pas du tout souhaitable.

 

À cote de ce phénomène, beaucoup d’associations ou l’ONG ont mis en œuvre des programmes d’aides, des dons des habits, alimentaires, fournitures scolaires et spécialement les aides de formation de la main d’œuvre ou encore l’investissement pour le développement du tourisme local.

 

La belle vue à Mu Cang Chai

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Tommy Ngo

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